Controverse
Les acteurs.
ENTREPRISES ET ASSOCIATIONS
Inno3Med
Entreprise spécialisée dans les technologies destinées à l’amélioration de la qualité de vie des personnes atteintes de troubles du comportement et de la communication. Ils ont notamment créé le robot émotionnel PARO une peluche robotisée en forme de bébé phoque.
SoftBanks Robotics
SoftBanks Robotics conçoit et fabrique des robots interactifs et bienveillant. Ils sont à l'origine des robots NAO, Pepper et Romeo. Conçus pour assister les gens, leurs robots sont interactifs, évolutifs et attachants. Ils sont de forme humanoïde pour faciliter l’interaction sociale.
Stimul'Activ
Stimul’Activ est une entreprise qui s'engage à l'aide des nouvelles technologies à aider les professionnels pour l’accompagnement des troubles neurologiques chez l’enfant, chez l’adulte et de la perte d’autonomie chez la personne âgée. Convaincus que des outils digitaux innovants et intuitifs sont essentiels pour les professionnels de la dépendance. Ils ont développé Vitaem et Mwoo.
AFCIA
L’AFCIA est une association française fondée le 18 juillet 2015 par des bénévoles qui désirent susciter un débat au sein de la collectivité. C'est une association ouverte à tous, sans références politiques ni religieuses et sans intérêts commerciaux.
Professeurs et chercheurs
Agnès Giard, Docteure en anthropologie et chercheuse
"L'on ne peut s’attacher à un robot que s’il est faible, vulnérable et est amené à mourir comme nous. "
Cynthia Breazeal, professeur associée d'Arts des médias et Sciences au MIT
"La compagnie des robots permettrait aux gens de pouvoir vivre de façon indépendante, mais ils ne recherchent pas seulement une machine qui pourrait tout faire à leur place, ils attendent de la part du robot une réelle compagnie."
Laurence Devillers, professeur d' IA à l'université P-Sorbonne
"Ces robots, qui peuvent répondre à toutes nos attentes, nous coupent en fait de la communauté des humains, nous isolant dans un monde virtuel, irréel et appauvri."
Anne-Laure Thessard, philosophe et consultant-chercheur
"Les robots ne sont pas forcément mal accueilli dans l'esprit des gens, certaines cultures les acceptent mieux que d'autre."
Kate Darling , sociologue et chercheuse au MIT
"Les robots sociaux sont utiles (austisme/isolement personnes agées) mais les données émotives récoltés peuvent être un danger pour la protection de la vie privée."
Serge Tisseron, Psychologue
"Les robots permettent de s'adapter aux handicaps des l'interlocuteurs, permet de favoriser l'interaction et calmer les anxiétés. Cependant, ça implique des risques pour la vie privée, risque de dissonance cognitive et des risques de préférer la compagnie d'un robot par rapprot à un humain."
PSYCHOLOGUES
Ritta Baddoura, Docteure en psychologie
"Les robots permettent une amélioration des troubles de la communication, de l’interaction sociale, du comportement et de l’humeur."